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Annihilation Of The Wicked | chronique

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chronique Annihilation Of The Wicked

album  : Annihilation Of The Wicked
groupe : Nile
sortie   : 2005

+ chronique Nile
01- Dusk Falls Upon The Temple Of The Serpent On The Mount Of Sunrise
02- Cast Down The Heretic
03- Sacrifice Unto Sebek
04- User-Maat-Re
05- Burning Pits Of The Duat
06- Chapter Of Obeisance Before Giving Breath To The Inert One In The Presence Of The Crescent Shaped Horns
07- Lashed To The Slave Stick
08- Spawn Of Uamenti
09- Annihilation Of The Wicked
10- Von Unaussprechlinchen Kulten


Plus classique mais toujours aussi bon !  par  Khayman

Après leur chef d'oeuvre incontesté In Their Darkened Shrines, le line-up de Nile connait quelques bouleversements : Tony Laureano quitte le groupe, ainsi que le bassiste. C'est le grec George Kollias (ex-Nightfall) qui prend la place de Tony derrière les fûts, et un jeunôt de 19 ans à la basse (dire que ce mec à mon âge, le salaud! )

Les premières écoutes de ce nouvel album sont moins impressionantes que celles de son prédecesseur. On perd le côté épique et les débauches techniques, mais on y gagne en clareté. De plus, à part quelques moments de folie où le groupe joue plus vite que jamais, le tempo s'est globalement ralenti.
Nile joue donc du death plus "classique", mais néanmoins très bon. Après quelques écoutes on s'habitue au côté plus posé et rentre-dedans, même si on regrette la subtilité dont faisait preuve le précédent album, ainsi que le peu de samples et d'apports orientaux qui donnaient un gros plus aux opus antérieurs.
On peut comprendre ce retrait par la sortie l'année dernière du projet de Karl Sanders (en gros le cerveau du groupe), Saurian Meditation, qui cristallisait le côté le plus calme et atmosphérique de Nile. Une musique relaxante en somme, sympa même si j'ai pas énormément écouté cet album.
Le dernier titre, Von Unaussprechlichen Kulten vient pourtant nous rappeller le côté grandiose d'un titre comme Unas : Slayer of the Gods et son break "péplumesque" à filer des frissons.
Mais tant pis, on prend quand même une grosse baffe avec des titres comme Cast Down The Heretic ou Lashed to The Slave Stick avec son côté entêtant bien qu'un peu "convenu" pour du Nile.

Quoiqu'il en soit ça reste un disque agréable, même si il ne fera pas l'unanimité.
A noter une édition limitée très classe, avec box en metal, poster, pendentif, autocollant et patch. Seul truc con avec cette version : le CD est présenté dans un slipcase (une pochette de single quoi) et non dans un digipack, dommage...

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