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L.D. 50 | traduction



Paroles traduites  par  Zwitter

Monolith

[ Première voix ]

...Ces symptômes suggéraient que votre évolution, je suppose, du royaume animal à celui des humains lui-même catalysé, ou déclenché par notre rencontre avec ces hallucinogènes, et...

[ Seconde voix ]

...Oui, nous sommes un singe doté d'une relation symbiotique avec le champignon, et cela nous a donné la réflexion de l'individu, la langue, la religion et tout l'éventail des effets qui découlent de ces choses...

[ Première voix ]

...Et on peut seulement ce demander comment ces hallucinogènes pourraient construire notre future évolution aussi bien...

[ Seconde voix ]

...Ils nous ont apporté ce point, et pendant que nous rendons notre rapport avec eux conscient, nous pouvons prendre le contrôle de notre futur chemin d'évolution...

Dig

J’aimerais casser la gueule,
A n’importe quel enculé qui pense qu’il pourrait me changer,
Prise de hérissons blancs piochant pour l’or
Si tu veux une partie de moi
Je casserais ce putain de moule
Je me noie dans ton réveil
Cette merde frottée contre mon visage
Fait mes dents sur du béton
Gommes en sang

Creuse, enterre-moi profondément
Tout ce que je réarrange
Creuse, enterre-moi profond
Tout ce que je changeais lentement

Je me bats dans un espace violé,
Vends les enculés dans le business qui essaie de me baiser
M’accroche à leurs programmes pour enfants
Je vends pas mon âme quand y a rien à acheter
Je suis pâle dans mon espace
Pissant sur mon visage
Je te baise quand t’essaies de me baiser

Creuse, enterre-moi profond
Tout ce que je réarrange
Creuse, enterre-moi profondément
Tout ce que j’étais t’as rien en moi

Laisse moi t’aider à nouer la corde autour de ton cou
Laisse moi t’aider à te parler de la mauvaise façon loin du bord
Laisse moi t’aider à tenir le glock contre ta tête
Laisse moi t’aider à nouer la corde autour de ton cou
Laisse moi t’aider à te parler de la mauvaise façon loin du bord
Laisse moi t’aider à tenir le glock contre ta tête
Laisse moi t’aider à enchaîner les boulets sur tes jambes
Va sur la planche à baise

Creuse, enterre-moi profondément
Tout ce que je réarrange
Creuse, enterre-moi profond
Tout ce que je changeais lentement
Je souhaite que tu te suicides en suçant sur la queue d’un enculé
Un homme mort se suspendant d’une corde serrée
Démembré dans le milieu d’une chaîne rembobinée

Internal Primates Forever

Les provisions du flic nourrissent mes dépendances et les erreurs que j’ai faites après
J’ouvris les trous et ils rampèrent dedans
Maintenant quand le temps du déjeuner viendra ils me laisseront pas oublier
Ils roulent sur mon dos et me baiseront avec leurs besoins
Mes ennemis invisibles tous mes singes
Ils arrivent, ils arrivent, ils arrivent pour m’emmener
Dégoûté avec ma position si soumise que je suis
La seule façon qu’on a de partir est de céder
Aiguiser la lame des rasoirs, les aiguilles dans les tuyaux pour tuer les passions si fatiguées de ça en moi
Supporte pas le souhait du besoin
Peux pas être, j’ai toujours une prise sur moi
Ca sert à rien de combattre cet arrachant tourniquet de privation obéissance subversive mène à la substance
Tu veux plus, donne m’en
Laisse ma motivation à la dépendance chimique, pas de place pour la patience
J’en veux pas, j’en ai besoin maintenant

Tout ce que je suis devenu est tout ce que j’ai jamais voulu
A chaque fois que j’essaie de m’enfuir je tombe sur mon visage ils m’entraînent
A chaque fois que j’essaie de m’enfuir je tombe sur mon visage
Au secours ! Ils me laisseront pas seuls
Si j’avais su à cette époque ce que je sais maintenant je le reprendrais
Si j’avais su à cette époque ce que je sais maintenant je le reprendrais
Je le reprendrais et putain je reprendrais tout
Reste loin reste loin
Tiens moi je remue violemment
Tire moi hors de ma surface
Façonne moi dans un nouvel homme
Berce moi dans un profond sommeil
Ca sert à rien de combattre cet arrachant tourniquet de privation obéissance subversive mène à la substance
Même si tu le veux , tu peux pas t’arrêter
Ames de primates pour toujours

-1

Pertes, perdants et plus, gain des plaisirs de la vie des cohortes écoutent derrière les portes d’une vie
Qui a encore moins de sens qu'un zéro en moi tous mes murs s’effondrant, maux en l’air misère
Je suis sûr que toutes les leçons furent apprises
Je suis sûr que les punitions étaient bien méritées par l’engagement dans le goût vide de la merde
L’amertume me prend tout systématiquement
Allez c’était toi, c’était toi
Pour creuser la merde à l’intérieure de moi
Ma vie inutile de rien
Dis-moi ce que je suis supposé être
Dis-moi qui je suis supposé être
Dis-moi ce qu’il faut pour monter
Dis-moi ce qu’il faut pour vivre

Patience, plaisirs et récompenses, arrivent en temps voulu, fixent le Soleil
Je m’ennuie dans une vie sans intérêt m’absorbant tout entier comme la croix que tu idolâtres
La vie est perte, regarde moi
Je suis sûr qu’un jour on se réveillera
Sûr qu’un jour on se réveillera du rêve
De succès et de focalisation... guettant la lumière luisant profondément en moi
Tu persifles
Je me réveille
Allez c’était toi, c’était toi
Pour creuser la merde à l’intérieure de moi
Ma vie inutile de rien
Dis-moi ce que je suis supposé être
Dis-moi qui je suis supposé être
Dis-moi ce qu’il faut pour monter
Dis-moi ce qu’il faut pour vivre
Dis moi MAINTENANT !
Dis moi MAINTENANT !
Peine, misère, détresse, lamentable, savent où l’idiot dépressif échoue
En moi ... appelant ... perdant ... en moi ... qui je suis ... en moi ...
Sois pas triste sois pas triste pour moi
Pas besoin de ta sympathie ou empathie, pas besoin de ta sympathie en moi
Pas besoin de ta sympathie ou empathie, pas besoin de ta sympathie en moi
Sois pas triste sois pas triste pour moi
Allez je sais que c’était toi, c’était toi
Pas besoin que tu me dises qui être
Pas besoin que tu me dises quoi être
Pas besoin que tu me dises comment monter
Pas besoin que tu me dises comment vivre

Death Blooms

Le froid a l’air d'une mutilation bancale
Errant à travers les couloirs
L’épaisseur de l’arôme avec l’âge marque le jour
Les reflets de ma vie disparaissent

Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
Je veux pas qu’elle se durcisse
Le créateur prends le corps je ne veux pas qu'il veuille de moi

Le passé a trouvé sa place
Le salut n'est plus possible
Dieu acceptera-t-il ma paix javellisée
Me pardonnera-t-il
Les reflets de mon âme disparaissent

Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
Je veux pas qu’elle se durcisse
Le créateur prends le corps je ne veux pas qu'il veuille de moi

Je veux juste courir, voler
Les cerfs-volants luttent, sautent et jouent
Nage à travers les vagues qui s’écrasent pour terrasser mes souvenirs coconnés en misère

J’en ai marre d’embrasser les reflets du temps passé
Reçois moi ou largue moi
... Dieu s'il vous plaît emmenez-moi
Résistance futile, idées suicidaires que je crucifierai
Mon propre être comble l’égoïste qui a besoin de baiser les dieux
Justifier mon propre droit de ce qui m’attend

D’un autre côté il est temps de verrouiller et de charger
J’arrive x 4
Chez moi

Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
J’en veux pas, veux pas être dedans
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
J’en veux pas
Le créateur prends le corps je ne veux pas qu'il veuille de moi
Retire moi de mon corps
J’en veux pas, veux pas être dedans
Le fragile et le pourrissant descendant
Je suis perdu dedans
Une structure qui s’effondre
J’en veux pas
Fabricant prends le corps, refuse qu’il veuille de moi

Je veux juste courir, voler
Les cerfs-volants luttent, sautent et jouent
Nage à travers les vagues qui s’écrasent pour terrasser mes souvenirs coconnés en misère
Les ténèbres viennent à bout de l’âme qui plane d’ordinaire
L’existence à côté de la porte
Je navigue à travers la baie du purgatoire

J’ai demandé à un dieu un poison
Berce moi plante mes rêves
Ames cherchant les fleurs de la mort où les nuages sont au-dessus de moi
Dans les mains de Dieu une floraison cadavéreuse

Sombre pour la peur de l’échec
Une tristesse profonde aussi large qu’un œil et fermentant, haine troublante
La mort s’accroche à mes veines dévoilant des pétales rances fleurissant le 4ème nectar infect
L'espace entre un clignement d'œil et une larme
... Floraison cadavéreuse

Golden Ratio

[ Instrumental ]

Cradle

Respire...
Pousse...
... je t’ai perdu, t’étais mon dieu qui pensait à ce que je faisais maintenant
Tu n’étais jamais là pour moi
Jamais là pour me porter
26 ans en arrière
Cette époque est terminée
C’était toi, je croyais en ce que je voyais
Ce que tu m’as fait, tu te rends compte de ce que tu m’as fait

Je vois pas quand j’avance dans le noir
Je suis aveugle sous mon berceau
La branche a cédé, j’exorcise ma perte, ton mensonge, la punition

Ca prends du temps d’essayer de raccommoder les blessures de toute cette souffrance
Que fais-je maintenant ?
C’est tout ce que je te demande
S'il te plaît envoie-moi un signe pour me guider à travers les temps qui sont allongés en face de moi que j’atteindrai tout seul

Regarde moi maintenant une merde comme toi
Regarde moi maintenant tu m’as quitté alors je t’emmerde

Tout le monde me quitte, tout le monde est parti
Regarde mon père me quitter, il reste plus personne
J’ai l’impression qu’on m’a jamais aimé
Tout le monde me quitte, jamais rien eu a branler de moi
Tout le monde est parti, je pourrirai dans ma tête tout seul
Je m’en branle de toi, fous le camp putain

Truqueur, dans mon cœur tu es le menteur
Innocence déplacée
Laissée

Me voici maintenant, et je suis seul
Avec personne pour me réconforter
Un jeu d’empreintes dans le sable
Personne prend ma main, je le ferai
Je errai tant qu’il le faudra
Je voguerai à travers ma vie bien que je sois seul
Trop grand pour le berceau qui une fois me logea
Et j’ai trouvé que tout ce dont j’avais besoin c’était moi

J’ai trouvé que j’avais jamais eu besoin de toi pour balancer
Toute la merde qui s’entasse à l’intérieur de ma vie
Précarité sans fin qui circule à travers mon corps
Je continuerai à trébucher, battre, tabasser
Ferai mes dents sur l’écorce et renoncerai à mon être

Je vois plus
Je vois pas
J’en ai tellement marre d’essayer de raccommoder les blessures de toute cette souffrance
Que fais-je maintenant ?
C’est tout ce que je te demande
S'il te plaît envoie-moi un signe pour me guider à travers les temps qui sont allongés en face de moi que j’atteindrai tout seul
Je vois plus ce que je baise

Nothing To Gein

Froid et silencieux, visage sali que je vais nettoyer
Avec mon amour,
De tout ce dont elle a eu besoin de moi
C’est du temps, ma mère
Un peu du mien dans ma vie
Je suis si seul, sans personne
Dans ma vie, je suis si seul

Vie de soumission
Hypnotisant l’ignorant, le meilleur ami d’un petit garçon est toujours sa mère
Du moins c’est ce qu’elle disait
La vie d’un homme simple
Apprenant que tout le monde est sale
Et que leur amour est sans importance
Je suis juste un sale petit garçon
Je suis juste un sale petit garçon

Vie innocente nichée
Souvenirs douloureux, étincelle réflexions de ma tête
Dualité dans ma conscience
Attrapé dans la guerre d’hémisphères
Entre l’amour perdu dans ma tête
Maman est-ce que tu vis toujours à l’intérieur de moi
Je suis si perdu dans ma vie sans un guide
Tu m’as protégé toute ma vie de tout
Clouées, ferme les portes au temple
Pour trier tes yeux morts de moi et de ma folie
Mutile et cous mes nouveaux vêtements pour le bal masqué
Tabliers de chair, cadavre scalpé, cheveux avec de la peau sur ma tête

Délivre les restes du ventre de la Terre
Prépare la roue de torture et ligote pour la renaissance d’un nouvel amour
Compréhension cachée d’une chirurgie novice
Je me focaliserai sur la concentration et prendrai juste ce dont j’ai besoin
Pour la folie que je mastique
Danse et masturbe
Célèbre dans les champs de nuit avec de la peu sur ma tête

Si je trempe mes mains dans le sang des autres, suis-je malade
Si je lave mes mains dans le sang des autres, suis-je malade
Si j’imbibe mes mains dans le sang des autres, suis-je malade
Si je me lave dans le sang des autres suis-je malade

Blâme la mère pour la folie
Mutile et couds mes nouveaux vêtements pour le bal masqué
Tabliers de chair, cadavre scalpé, cheveux avec de la peau sur ma tête
Je danse et me masturbe à la lumière de la nuit tout seul
Il me reste rien à gagner
Ils viennent m’emmener loin

La vie d’un homme simple
Apprenant que tout le monde est sale
Et que leur amour est sans importance
Je suis si sali
Si sali

Mutatis Mutandis

[ Instrumental ]

Everything And Nothing

On avale le crachat
Vole l’acceptation prête le déni
Me disant que ma vie est libre et sans limite
Puis je suis obligé de rester entre les lignes
Ils construisent la mort pour détruire la vie
Plantent les semences pour récolter la perte
Trouvaient que la vérité vide est pleine de mensonges

On espère avoir du désespoir
La gourmandise de la diète
Subtile paix chaotique
Guerre divisée en unités
Libre vie, libre choix
Révélation cachée
Les leaders suivant

Je suis tout je suis rien

Arrête de me faire chier, je suis l’accusé pas l’ennemi
T’es si confus, en aucun cas tu pourrais m’éclairer
Pas de liberté piégée en esclavagisme, honnêteté trompeuse, putain d’humain pas une machine

Pose tes mains sur moi
A la recherche de réponses suggérées
Combat permanent en moi
Guide moi à travers ce rien qui est tout

Je suis tout je suis rien

Severed

Et on se cache derrière
Les mensonges, la colère
La haine, ils emportent l’amour
Construisent des coquilles de nous dehors
Ca protège le corps des froids reignes de la réalité

Allez, sors, de ton écorce, assemble la force, focalise toi
Libère toi et cours vers moi
Tu peux jamais regarder en arrière vers les visions du passé
Elles fanent dans le temps
T’as juste à me faire confiance, croiser les mains
Puis je tourne et m’en vais

Je t’éclipse
Et te saigne, te dévêtis de tes états de ain soph aur
Je t’éclipse
Je vomis sur mon assiette et j’envoie tout chier
J’ai besoin
Et on sépare tous les liens
Ca crée le trouble au milieu du cercle des amis
Je deviens le sacrifice
Préserve ta vie et me laisse avec ma misère

Lâche la croix, et sauve toi, va t’en

Cours maintenant, éloigne toi de moi si je peux attraper ma prise
Je te tirerai vers le bas en enfer
J’appelle ma tête, tu pourras jamais t’enfuir
Je m’assieds dans mon endroit moche et construis des murs des fragments de mon passé de tous les gens dont j’avais besoin et que j’aimais qui sont partis

T’as juste à me faire confiance, croiser les mains
Puis je tourne et m’en vais

Je marche sous les nuages de gris
Sphère de tempêtes dans ma tête

Je suis encore piégé dans la pluie sans fin
Je divorce des pensées de toi que j’aime avec moi
Je divorce de ton innocence et de ma culpabilité
Je divorce de la confiance menteuse de liquidation
Je divorce de chaque chose de merde
Je divorce de l’amour saigné sans signification
Je divorce de l’harmonie rafistolée
Je divorce des actes de violence
Je divorce du passe-temps de jalousie
Je divorce du contrôle
Je divorce de la confiance
Je divorce de la vertu
Je divorce de la pluie
Je divorce de l’excuse
Je divorce de l’avarice
Je divorce du besoin
Je divorce de l’inégalité dans cette putain de vie de merde
Je veux juste que tout s’en aille
Veux juste m’enfuir pour crever, la prendre, moi-même ma vie
Un livre de texte putain de mental, hors de moi et jette moi dans un trou

Je serai toujours ton ombre
Et voilerai tes yeux de l’était de ain soph aur
Je ne peux plus être le héros
Je vomis sur mon assiette et je tourne et m’en vais
Je vomis sur mon assiette et trouble la famille
Je vomis sur mon assiette et je sépare l’entité
Et je sens ton soleil chaud sur mon visage
Sépare

Je t’éclipse
Et te saigne, te dévêtis de tes états de ain soph aur
J’ai besoin de toi
Ca a toujours été comme ça, j’éloigne tout
De moi

Recombinant Resurgence

[ Instrumental ]

Prod

Les émotions à l’intérieur de nous troublant
La haine en nous escaladant
La maladie en nous nous garde faible
Les masses en nous souffrant, elles saignent
L’appel en nous, malade avec avarice
Les voix nous appelant assourdissant qu’on écoute pas

Je ne peux pas recevoir ce qui est évident
Mets des ficelles autour du bétail et coupe les cous
Ecrase les mouches avec tes mains sans dégoût

Les leaders en nous posant
La pollution à l’intérieur de moi m’étouffant
La science en nous nous menaçant
La volonté qui est en nous ça fin arrive

Je ne peux pas recevoir ce qui est évident
Mets des ficelles autour du bétail et coupe les cous
Vide nous de la vie et purifie le bordel

Rince moi à l’intérieur, rince moi à l’intérieur

On se tue
Putain on a niqué les circonstances
Trop tard pour nous sauver de nous-même
Esprits insensibles contre la confiance et la confidence
Trop tard pour s’intéresser maintenant
Trop tard pour nous sauver de nous-même
Trop tard pour le faire partir
Trop tard pour implorer le pardon de la mère
Trop tard pour s’intéresser

On vas s’assoir et attendre

Attendre attendre pour l’arrivée de la fin
Attendre pour l’arrivée la tuerie la fin l'état critique de l'homme
Méritant aucune pitié expulsée de la main de Dieu
C’est pas grave, la fin est finie plus de peine

Emotion la haine la maladie l’appel

Pharmaecopia

Est-ce que ton dieu vient dans une capsule te donner des sédatifs ?
Déchire les murs
Prison sans tête
Les cannibales mâchent pour te consumer
Apportes l’étranger

Halcium et morphine
5-methoxy-n, n-dimethyltryptamine,
Psilocybin, mescaline, aspirine, histomine
De la beu, darvaset, valium, caféine, cannabis, et LSD,
Ayahuasca, harmine donne moi tout ça j'en veux

C’est juste une portion des choses que j'aime x 2

Trisolam et zanex, serotonin, mdma, ibogaine, dopeamine,
Tetra-hydro-chloride, atenolol,
Amanita muscaria,
Oxyde borique, arrabinitol, psilocin, et flamizine,
Cylotec et harmaline
Donne moi tout ça j'en veux

Est-ce que ton dieu vient dans une capsule te donner des sédatifs ?
Déchire les murs
Prison sans tête
Les cannibales mâchent pour te consumer
Apportes l’étranger

Tu ne peux pas me tuer
Je suis déjà mort
Dans mon trou
Dans ma tête
On mendie juste pour être sous sédatifs
C’est juste pour s’échapper
Paralysé selon moi
Corps paralysé de cet enfer

Je peux les sentir pousser je peux les sentir tirer
Je peux les sentir tenir je peux les sentir bouger
Je peux les sentir fouiller je peux les sentir pousser
Je peux les sentir respirer je peux les sentir creuser
Je peux les sentir poignarder je peux les sentir viser
Je peux les sentir vivre, je peux le sentir
Consume, prends, immergeant, sondant
Instruments fouillant, les étrangers en moi
Outillant la machine
Intoxiquant
Sens le se déplier, des énigmes en moi

C’est juste pour s’échapper, on mendie juste pour s’en aller
Devant qui t’inclines-tu, est ce que ton dieu vient dans une capsule ou une assiette
Ils essaient de te mettre sous sédatifs, avale toi et amène l’étranger
Tu essayais de me tuer je suis déjà mort pour ce monde
Je suis déjà mort pour ce monde

Under My Skin

Cloué dans ma tête
Baise ça j’ai pas besoin de ta merde
Tous les mensonges trompent et l’arrogance
Parle de ta merde comme si ma vie était une sorte de jeu
Comme si tu me connaissais putain
Va loin et fais toi tout petit
Cours très loin et fais toi tout petit
Va t’allonger dans un trou et fais toi tout petit

Epines, éclats, bousculade
Sous ma peau
Ils veulent entrer
Langue aiguisée pour me pénétrer

Si tu crois vraiment que t’as ce qu’il faut pour être moi
Puis marche un mile dans la peau de mon cinglé être mental
Alors tu veux une partie de cette vie qui m’appartient
Et bien fais une coupe sur la ligne et regarde plus profondément à l’intérieur du monstre

C’est moi, enculé, allez

Dérange, cherche moi, fouillant toutes mes échelles
Pour avoir en lance le noyau pour me pénétrer

Alors tu veux à l’intérieur de moi
Alors tu veux une partie de ça
Alors tu veux me descendre
Alors tu veux me déchirer
Pour que ton propre égoïsme veuille et ait besoin

Que tu sois là comme un connard
Juste pour avoir dans ma gueule
Voulais dedans et voulais être
Jusqu’à ce que je te donne un mauvais goût
Pas besoin de ta putain de pression
Faisant face au stress
Je suis Superman enculé
Sans le « s » sur mon ventre
Essayant de passer dans mon cercle
Je te laisse le pourpre et le noir sur ton dos
Lâche ton cul comme une attaque cardiaque
Déchirant à travers ta vie comme une putain de tempête
Poing plein de Novocain pour la douleur
T’es rien dans ma vie dans ma tête
T’es rien dans ma vie dans mon pays
Cloué dans ma tête

T’es sous ma putain de peau
J’ai purifié ma vie maintenant des gens qui fouillent
Et menacent l’endroit toujours dans ma gueule
Je crois qu’il est temps qu’ils s’en aillent toujours dans mon putain d’espace
Toujours dans ma scène toujours dans ma vue
Toujours dans mon chemin

T’es mort pour moi sale enculé de punk
Il reste plus rien

(K)now F(orever)

Instants glacés dans le temps
Sablier stoppé
Ils prédisent, ce que tu sauras
Les dispositions sont dedans
Alors nous aussi
On veut pas courir
On veut pas se cacher
Renonçons aux prières pour l’inspiration
Si tu dictes ce que je serai
Alors écrase ma tête sur le béton

J’en ai marre
Je sens les fixations me transpercer
Si désolé de souiller tes précieux yeux
Les réflexions de la cuillère te nourrissent
L’amertume et le dégoût c’est moi
Si tu choisis de me tendre la main pour me faire avancer
Je mâcherai loin de ta main

Je supplie pas pour ton putain de changement
Je supplie pas pour ton putain de changement
Je suis en contact avec moi-même
Tout seul en moi
Tout seul, seul

Do what you will make it the whole of your law,
Mets le feu à la confiance qui fait ombre à la vie
Et regarde plus en profondeur de ce que tu es
Tire les ombres, la lumière interne peut être aveuglante
Brillance
Je supplie pas pour ton putain de changement
Je supplie juste pour un putain de changement
Complaisance vidée de moi

Le lignage se termine

Je suis ça, une fois était moi, se levant, les boyaux arrachés
Sculptés dans le froid, boursouflant, casse le moulage, sépare moi

Je t’égorge, sois le martyr, pilules amères, qu’on avale

Prends moi, poursuis moi, avale avec moi

Sache, maintenant
Sache, maintenant

Dans la vérité, arrivant trop près de moi, le sol consume et m’embrasse
Sache pour toujours

Né encore
Je me repositionne
De son propre intérieur à sa propre non-dimension
Perdu pour être
J'ai reconnu la cause
L’existence arrive, vivant maintenant pour toujours

Je suis une fois j’étais
... c’est moi
Je suis une fois j’étais
... c’est moi

Je suis cassé, altéré, force vacillante
Rond, carré, coins, cercles, danse autour des figures mouillées
Je ne suis plus prisonnier du temps
L’aperçu nous guidera à travers la majesté de rien
C’est comme si j’étais touché par l’amour d’une ange
Que les bâtards pourrissent dans le temps pour tout leur mal
Que les bâtards pourrissent dans le temps pour tout leur mal
Que les bâtards pourrissent dans le temps

Lethal Dosage

[ Instrumental ]


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