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Hybridium | paroles / lyrics



La débacle

Se rendre compte que l’on est seul.
Pas de soutiens, pas de paroles.
Pour combler ce vide que tu as laissé.
Se retourner, ne voir que l’on a que des regrets et se tordre de remord.
Mais pourquoi tu me fais ça ? Non !

Tu choisis la débâcle, ta facilité m’emprisonne.
Au travers de ton âme, tu sais que ce n’est pas…

Ne pas comprendre ce qu’il se passe.
Ni tes mots ni ton visage n’expriment vraiment le choix que tu nous affecte.
Se torturer l’esprit, ne voir que le mal, partout et serrer fort les dents pour ne pas tomber de trop haut trop bas.

Tu choisis la débâcle, ta facilité m’emprisonne. Au travers de ton âme, tu sais que ce n’est pas…

Le choix… à faire Le choix… à faire.

Sens ton cœur vide de nous.
Sens mon âme vide de tout.
Dans la vie on arrive à rien, tant qu'on fuit.
On ressort toujours plus fort de ce qu’on vit. Dans la vie on arrive à rien, tant qu'on fuit. On ressort toujours plus fort de ce qu’on vit.

Tu choisis la débâcle, ta facilité m’emprisonne.
Au travers de ton âme, tu sais que ce n’est pas…
Le choix… à faire Le choix… à faire.

Les mains tâchées

GO !!
Cœur ouvert, rien à perdre prêt à saigner pour la nation.
L’homme blanc colonise pour l’entreprise du malveillant.
Tous ces gens qui condamnent leurs âmes et se déchirent, se mentent pour un cauchemar. Creuse les corps de ces esclaves.
Le fruit de leur carnage.

Mais regardes mes mains, l’homme blanc se régale.
Mais regardes ces taches qui tatouent mon âme...

Ce qui brûle dans mes veines c’est la rancune d’une trahison. L’horizon auquel se destine ma vie : faire le clébard. Tout ces gens qui n’ont plus leurs droits, ni même envie de croire qu’ils sont encore.
Maître du sort de leur corps.
Marqués de coups de battes.

Mais regardes mes mains, l’homme blanc se régale. Mais regardes ces taches qui tatouent mon âme...

Non, non, non, NON !!!!!!!!!!!

Je voudrais quelques sourires , juste voir le monde , sans fouet et vivre.
Juste mourir en me disant qu’au fond ce ne fut pas si pénible.
Mais pour ça faudrait enfin que la révolution se montre et que les armes ne prennent plus les âmes.
J’en ai trop marre de voir tout ces carnages ASSEZ !!! ASSEZ !!!

Fracassante réalité

Crier, déterrer sa haine pour ne pas se soumettre au règne de certaines personnes qui prétendent vouloir le bien.
Mais à quel prix ?
A quels risques s’exposent tout ces gens ?
Contents de s’en prendre plein le cul au nom de l’idéal humain.
Je rêve de sang, l’image est noire. Je rêve de gens qui font semblants d’y croire.
Tuer, supprimer un être mais pour qui se prennent ces pantins ? Pour Dieu, faudrait-il encore qu’il y en ait un...
Pleurer, supplier la raison de prendre le dessus.
Je suis atteint par le syndrome de l’homme qui ne croit plus en rien !!!
Il n’y a plus de lumière, je ne serai pas à genoux.
Devant toi l’héritier qui répand la corde.
Il n’y a plus de lumière, tes beaux discours me saoulent.
De toute façon personne ne peut plus rien contre vous.
Tout revient toujours au même.
Tout revient toujours au même.
C’EST LA FRACASSANTE REALITE... C’EST LA FRACASSANTE REALITE... C’EST LA FRACASSANTE REALITE... C’EST LA FRACASSANTE REALITE.

Angoisse Nocturne

Vois-tu mon regard, vois-tu mon visage.
Entends tu mon souffle, trembler sous le doute que tu es en moi.
Amorçant mon heure.
Est-ce que mon histoire se limite au sort que tu me réserves ?
Se limite aux quelques levés de soleil ?
Je subis l’angoisse...

Doucement les larmes se succèdent, j’appréhende le verdict, les murs se resserrent.
Je cherche les portes d’une paix passagère. Prie les anges même si Dieu souvent me délaisse.

Toi qui présages mes envies, crois-tu pouvoir rendre mon corps sale. Toi qui pourris mes lendemains, crois-tu avoir raison de moi ?
Toi qui domines mes somnolences, crois-tu pouvoir être capable ?

Je menace sans remords nos deux chemins si ton sort prend le mien.
Seul la corde finira ce mal en moi les causes me pèsent
Et je ressasse sans relâche ces temps d’égards où ton corps prend le mien
Seul ma mort finira ce mal…
Sors vite mon éveil me lasse, la folie prend mon âme
Sors vite mon sommeil se tarde, il ne peut être avec...

Toutes les craintes que tu lui soumets,
Tout ce mal auquel je n’ai pas trouvé d’arme pour faire face

Sors vite...
Sors vite...
Sors vite.

Collision XXX

Prend le large, n’ai pas peur. Ressent cette chaleur. Détruis le temps, le vide se fait autour de toi. Dans ce noir je t’absorbe.
Nos corps se cajolent. Imprègnes toi de moi...
TORDS LES REGLES POUR QUE CA CONTINUE.
TORDS LES REGLES, je provoque, tu provoques DANS MA TETE comme une collision de nos âmes.
TORDS LES REGLES POUR QUE CA CONTINUE. TORDS LES REGLES JE DEBLOQUE TU DEBLOQUES DANS TA TETE je le sens bien. Danse sur moi n’ai pas peur. Caresse cette odeur. Respire mon corps, il fait partie de toi. J’aime te voir quand tu pleures, frissonne de bonheur.
Tes cris me rendent malade. TORDS LES REGLES POUR QUE CA CONTINUE.
TORDS LES REGLES, je provoque, tu provoques DANS MA TETE comme une collision de nos âmes TORDS LES REGLES.
TORDS LES REGLES JE DEBLOQUE TU DEBLOQUES DANS TA TETE je le sens bien...

Dans ton regard, quand tes souffles s’éveillent VAS Y MORD, JE CHERCHE A T’ENVOYER LA OU LES MORTS NE SONT JAMAIS REVENUS. VAS Y MORD JE CHERCHE A T’ENVOYER LOIN Je suis à bout de souffle, mais continurai l’effort jusqu’au bout.
Y a pas moyen que je lâche l’affaire, c’est plus fort que moi.

Il faut que tu TREMBLES.
VAS Y MORD, JE CHERCHE A T’ENVOYER LA OU LES MORTS NE SONT JAMAIS REVENUS.
VAS Y MORD JE CHERCHE A T’ENVOYER LA... AU LOIN.
VAS Y MORD T’ES PRESQUE ARRIVEE AU BOUT.
VAS Y MORD TON CORPS SE CONTRACTE.
VAS Y MORD T’ES PRESQUE ARRIVEE AU BOUT.
Ressens toutes ces vagues te conduire dans ces bras. Ce qu’il provoque en toi, dans chaque goutte de tes larmes. Je peux voir à quel point tout te semble LOIN !!!!!
Vas-y mord !!!!
Jusqu’au sang !!!
Vas-y mord !!!
Jusqu’au sang !!!

Lettre ou ne pas l'être

Savoir que je dois contrôler ce mal.
Retenir ma folie, mes larmes.
Que je dois oublier de croire.
Que demain sera… Ma rage, mon calvaire, mes souffrances me narguent. Me lacère au prix de cet acte. Tatoué sur ces quelques pages.
Qui me rende dingue.
Je regarde en l’être infâme que je deviens en ces voix qui me poussent à mutiler mon âme... MA RAISON SE TORD.
Me voir dans mes nuits complètement malade.
Inventer des supplices macabres.
Dans le quel ton corps, son corps, adhèrent à mon mal.
Te voir étouffer, supplier mes mains D’arrêter de faire glisser la lame.
Qui punit son corps de bâtard.
Je ressens l’orgasme.
Je regarde en l’être infâme que je deviens en ces voix qui me poussent à mutiler mon âme…
Je pellerai chaque partie de son corps ce supplice chinois te rendra chaque fois plus las des jours prochains.
J’ignore si tout ça apaisera tout ce mal en moi, je ne suis plus maître des actes car... EN MOI LE CHOC !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! CHOC !!!!!!!!!!! CHOC !!!!!!!!!!! CHOC !!!!!!!!!!! EN MOI LE CHOC !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! CHOC !!!!!!!!!!! CHOC !!!!!!!!!!! CHOC !!!!!!!!!!!
Je regarde en l’être infâme que je deviens en ces voix qui me poussent à mutiler mon âme...
MA RAISON SE TORD...


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