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Peuh! | paroles / lyrics



Jazz Trash Assassin

Nous voilà assis sur un baril de poudre comme des statues de cire prêtes à se dissoudre. Incapable de scier les barreaux de ta cage, mais dis-moi pour qui te prends-tu pauvre singe ?
Asphyxiés par les machines, le gaz, en manque d'air le ciel nous écrase. Regarde, nous abordons la phase terminale, le point final de l'empire occidental. Obligé de rester enfermé c'est sûr en sécurité entre 4 murs, tu n'pourras bientôt plus mettre un seul pied dehors. Tu ne soupçonnes pas ce que te réserve le sort, tant que sous ta porte ne passe pas encore l'odeur de la mort. Maître du pouvoir et esclave ? la fois, tu finis par ne plus savoir que tu avais le choix car le fait essentiel que ta raison néglige c'est qu'en fait, au fond, personne ne t'oblige

La Chute

Craché d'une bulle d'amour, depuis que j'ai vu le jour, je me fais du soucis pour ce qui se déroule et déboule aux alentours, avec le désir de construire l'avenir. Que tout autour s'écroulent les murs pour laisser passer, tracer le futur. Tenter de rester libre, garder le sens de l'équilibre avant que tout chavire dans le côté obscur. Je sais maintenant que je ne suis pas le seul. A chaque heure je vois des gens qui aussi pensent que les choses avancent à l'opposé du bon sens. Attention, quand je dis le bon sens il faut que tu saches, avant que l'on se fâche que jamais je n'impose ? quiconque mes pensées ni ma cause. Mais j'insiste, soyons réalistes, le systême dérive et arrive à l'âge de la ménopause. Plus dur sera la chute. Tu ne bouges pas, le monde tourne autour de toi. Tu ne rêves pas, le monde crève autour de toi. Tu ne sens pas, le monde s'enfonce sous tes pas. Je ne serais sûrement pas héros de la révolution, sûrement pas m?me un morpion dans l'histoire de l'évolution, mais là n'est pas la question, là n'est pas le propos, je ne suis pas venu ici pour cultiver mon égo. Certains porteurs de plumes ou de micros analysent mes mots, trouvent mes propos démagos. Ont-ils donc une enclume ? la place du cerveau ?
Etrangers ? la sensation qu'on appelle compassion. Seul le suicide du nouveau Sid peut leur provoquer le style de l'émotion en toc. Je ne bosse pas pour le fric ni pour l'étique plutôt pour l'époque. Plus dur sera la chute. Parfois empétré dans le merdier de mes pensées, me vient l'idée de tout plaquer, l'envie de tout quitter. Mais je me vois condamné à doubler la mise, j'ai les doigts collés dans la prise. Tu ne rêves pas !

Amnes' History

Comment pourrais-je oublier alors encore enfant ? l'école "Nuit et Brouillard" sur l'écran ?
Dans le noir nos yeux hagards ne comprenaient pas comment nos grands parents avaient laisser faire ça. Un tyran, un fou, héros d'une nation, ?uvrant ouvertement pour l'extermination d'une population d?sign?e responsable d'office, accus?e, coupable, offerte en sacrifice ? tout un pays affamé de pain et de gloire. Ils semblaient fiers de l'infamie, certains de la victoire, usant de la folie, poussant ? l'agonie les victimes choisies. Peu d'espoir de survie dans les camps de la mort, pire que du bétail, je n'crois pas qu'il s'agisse l? d'un simple point de détail, furent bâtis les plus grands abattoirs de l'histoire. Dans d'étranges laboratoires d'obscurs docteurs mettaient un point d'honneur ? cultiver l'horreur, sourds au cris de douleur d'un peuple qui meurt pour la sauvegarde de la race blanche. Et le cauchemar recommence. Les somnambules reculent, alerte ? la d?mence, comme un hasard de l'histoire, le cauchemar recommence. Comment pourrais-je oublier quand, 50 ans plus tard, ressortais des placards le m?me vieux sc?nar'. On avait juste chang? le nom des protagonistes, pour faire le vide, on ne dit plus g?nocide, mais purification ethnique, et on nous explique que l'on a rien ? craindre et pas de temps ? perdre, chacun sa merde ! A trop s'en foutre nous sommes devenus des l?ches complices inactifs d'une nouvelle t?che. Dans les livres d'histoire quelques pages qu'on arrache, mais quelque part, dans notre m?moire se cachent les images d'un carnage qui reviennent en flash. Aujourd'hui un foyer d'immigr?s incendi? en Allemagne partout en Europe, en Italie comme en Espagne, ici, en France, c'est une ?vidence le cauchemar recommence Qui sera demain la cible des racistes irascibles ? Qui seront les coupables ?
Qui seront les victimes ?
Du m?me crime perp?tu? contre l'humanit? qui devra prouver qu'il a le droit d'exister ?
Qui pourra alors s'en foutre, devenir un l?che complice inactif d'une nouvelle t?che ? Qu'allons nous dire aux enfants quand ils ne comprendrons pas, comment nous aussi avons laiss? faire ?a, pour la sauvegarde de la race blanche ?
Que le cauchemar recommence

Envie de Tuer

Montrez-moi votre gr?ce ? faire partie de la race des gagneurs, les vrais seigneurs. B?tissez des empires qui font que tout empire pour le bonheur des fossoyeurs. D?ballez vos richesses tel un tableau de chasse ? la hauteur de vos erreurs. Et vous me donnez envie de tuer. Caricatures obsc?nes au carnaval du ridicule. C'est votre vertu qui fait les violeurs pas les films de cul. Donnez nous des le?ons en marge de l'action, ma?tres poseurs et beaux parleurs. D?gueulez des festins en pleurant sur la faim, priez en ch?ur pour les ch?meurs. Offrez nous en spectacle l'effet de la d?b?cle, sauvez l'honneur des imposteurs. Et vous me donnez envie de tuer. Sortir un gun, juste pour le fun

Mental Urbain

Lanc? ? la poursuite du maximum spirit, je me sens pourtant trop souvent arr?t?, stopp? net, dans ma qu?te. Arriv? au bout du compte faudrait pas que je regrette autant d'efforts pour d?raper dans le d?cor et speeder pour rien dans un quotidien, attir?, aveugl? par l'envie de faire quelque chose dont je serai fier. J'ai comme l'impression de subir la pression, la conviction qu'il faut de l'action, de la fum?e et du bruit afin de p?ter les plombs, pour semer la folie qui me colle aux talons, avant de m'enliser dans la confusion, la conviction qu'il me faut de l'action Pris au pi?ge, comme en ?tat de si?ge, attach? malgr? moi ? cette id?e de bien de mal qui m'?loigne de l'animal, m'enveloppe le mental. Fils de l'?lectricit? et du m?tal, je ne suis que le fruit, le simple produit d'une civilisation en situation critique. J'applique la technique de la fuite en avant, affam?, avide, pr?t ? me lacher dans le vide. Les kilom?tres d?filent ? ma fen?tre mais je n'saurais jamais peut-?tre ce qui se passe dans ma t?te. Non je n'veux pas mourir dans la peau d'un blaireau qui se fait se fait mettre le tensiom?tre ? z?ro. Je n'suis d'aucun parti, d'aucun club, d'aucune secte. Un panier de crabes, une masse d'insectes, un troupeau de moutons, une meute de loups, ce genre de notions est encore un peu flou. Au milieu de la foule qui avance ? genoux, ma pens?e est ailleurs, je suis le sage et le fou. En mission pour l'acc?s ? l'?tat de conscience, j'essaie de ne pas perdre confiance mais avant de m'?clipser aurai-je seulement la chance d'acc?der au c?t? sacr? de l'existence. J'ai la pulsion ardente, la passion br?lante, ne comptez pas sur moi pour la file d'attente car je tiens le r?le du 5i?me ?l?ment entre le feu, l'eau, la terre et le vent

Bon ? Rien

Pas d'argent, pas de manger, pas de maison, pas de raison, pas d'abri, pas d'ami, pas de rang, pas de r?pits, pas de r?ve, pas de couleur, pas de tr?ve, pas de chaleur, pas de je t'aime, pas d'embl?me, que des probl?mes ! Bon ? rien, rien ? perdre ! pas d'illusion, pas de sourire, pas d'ambition, pas de mire, pas de charme, pas d'horizon, pas de forme, pas de fond, pas de toit, pas de respect, pas de choix, pas d'int?r?t, pas de droit, pas d'erreur, que des malheurs ! Bon ? rien. pas de rond, pas de faveur, pas de savon, pas de saveur, pas de douceur, pas de joli, pas de fra?cheur, pas de d?lit, pas de pain, pas de repas, pas de parent, pas de rep?re, pas de bien, pas de mani?re, que des gal?res ! Bon ? rien, rien ? perdre !

Macho Blues

?coute papa petite fille quand papa te dit soit gentille tu es le sang de mon sang, la chair de ma chair tu es ? moi je suis ton p?re tu es ? moi ? chaque fois que se mettent ? claquer mes doigts dans l'?lastique de ta culotte allons ne crie pas petite sotte je te donne la vie le g?te, le couvert, quand j'ai envie, laisse toi faire je suis le seul ? te comprendre, qui d'autre que moi saurait te prendre je ne veux pas que tu donne ton corps au premier inconnu, les hommes sont des porcs ?a ne sortira pas de la famille, ma petite fille reste docile ?coute moi petite garce, tu es la dinde et moi la farce ne dis pas que mes caresses te glacent ta peau est si chaude reste ? ta place ! on est si bien sur ma banquette arri?re ne m'oblige pas ? me mettre en col?re regarde un peu dans quel ?tat tu me mets, ce que tu fais de moi je t'offrirai les robes dont tu r?ves, de la lingerie fine assortie ? tes l?vres des nuits de plaisir indescriptibles je suis un gars tellement sensible regarde dans les yeux celui qui te souille fais un v?ux et coupe lui les couilles ?coute moi pauvre conne au lieu de r?p?ter que tu n'est pas ma bonne j'ai vers? ton sang , pill? ta chair de tes enfants je suis le p?re tu es ? moi ? chaque fois que se mettent ? claquer mes doigts dans l'?lastique de ta culotte, assez de critique, ta gueule salope ! je gagne la vie, le g?te, le couvert. quand j'ai envie laisse toi faire je suis le seul ? te comprendre, qui d'autre que moi aurait voulu te prendre approche ici me donner ton corps, je te ferai le cri du porc tu fais partie de la famille, je t'ai ? l'?il femme docile

Intox Populi

Inlassablement la voix des m?dias nous renvoie les exploits de vieux pontes immondes qui pondent des lois ceux qui meurent de froid cet hiver, quelle affaire ! consid?r?s comme des rats porteurs de peste en subissent le vice des textes sous pr?texte d'exclusion, d'expulsion, probl?mes d'insertion ou d'int?gration jusque l? perplexe, voil? que je me vexe. qu'on leur cloue le bec, passe moi le marteau et les clous ! ? vous repa?tre de tout vous me gavez le mou que vous avez flasque ! ne poussez pas, ne me poussez pas ! la masse est malade, l'intox en est la tumeur je ne suis pas d'humeur ? colporter la rumeur in?vitablement les m?mes t?ches nous rab?chent constamment les m?mes slogans et voil? maintenant que l'on donne la parole au plus dr?le des guignols quelle dr?le d'idole ! il a la gaulle et flippe en m?me temps dans le r?le de sa vie Charles de Gaulle 2 puisque le peuple le pr?tend comp?tent le voil? pr?sident ? pr?sent, tout le monde sait pourtant que tout sera comme avant, qu'il ne tiendra pas le ? de tout ce qu'il pr?tend. rappeler moi son nom que je fasse un carton et qu'on je jette dans la Seine par 10 m?tres de fond chauss? d'une paire de charentaises en b?ton syst?matiquement dans le petit ?cran apparaissent les m?mes tronches de fesse toujours les m?mes gens ?lus premiers de la classe, ?lite de la race, jug?s par eux-m?mes. non pas de probl?me. d?tenteurs de savoir, usurpateurs de pouvoir toujours les m?mes faces, toujours les m?mes mots toujours les m?mes phrases, toujours les m?mes promesses faudrait que ?a cesse !! 20 heures, ?carte les fesses, c'est l'heure de la messe le pr?tre n'est peut-?tre pas comme tu l'imaginais, sa divinit? tu la connais c'est la monnaie regarde un peu les ragots qu'il nous montre ?coute un peu les bateaux qu'il nous monte il ne connais pas la honte pourvu que tu le mattes et que l'audimat monte ce style parait-il correspond ? l'attente ? croire que plus ils mentent plus la foule est contente elle se contente d'une vie en l?thargie o? jamais personne ne dit assez !!

Arrach?

Fuyez revoil? la bombe, pleurez la mort ?clat?e creusez des tombes pour la post?rit?. des corps qui tombent, la chair d?chir?e le bruit de la foudre, les cris de la foule ne pas faire demi-tour, cette fois c'est son tour l'heure, l'endroit, le jour, le prix de sa vengeance effacer le m?pris, des ann?es de silence ?pris de puissance ses tempes tapent tambour ? force d'encaisser, il faut bien que ?a sorte chasser le naturel, la sauvagerie l'emporte. fuyez revoil? la bombe, pleurez la mort ?clat?e. versez des larmes pour la post?rit?. hurlez au drame ensanglant?. panique et vacarme au milieu des flammes. crevez des gens que ?a cr?ve l'?cran. pour se faire entendre c'est sa fa?on de r?pondre. r?pandre la terreur, une seconde et s'effondre la loi du plus fort ? changer de camp ! fuyez revoil? la bombe, pleurez la mort ?clat?e. creusez des tombes pour la post?rit?. des corps qui tombent, la chair d?chir?e, les cris de la foule, arrach?s. c'est l'histoire d'un homme qui voulait refaire le monde, mais sa tactique sonne comme le tic-tac d'une bombe ? retardement. vous vous demandez qui ou quoi l'a pouss? jusque l? ? pourtant facile en somme quand on sait que l'homme est lui-m?me le pire ennemi de l'homme. quand la haine est sa reine voyez o? ?a le m?ne. au bout d'une cha?ne tendue, il ne pardonne pas, de sang froid il tue, puisqu'ils sont d?j? foutus il d?tient le feu, se croit ma?tre du jeu, il s'est invent? une fiert? de guerrier arrach?

Le Pendu

Autant se pendre puisqu'il passe sa vie ? attendre que quelque chose se passe ici ou en face, mais h?las il fait la grimace car jamais rien ne se passe dans sa vie en forme d'impasse, aucune importance, maintenant il est trop tard, ?chec et mat, il s'est mis ? l'?cart, pour lui ?a n'est d?j? plus l'heure d'avoir l'air stable, fiable, imperm?able ? l'ennui qui le suit, l'accable, l'accompagne jour et nuit, il est son seul et fid?le ami le seul qui ne l'ait jamais quitt? ni trahi aussi 100 fois par jour, il meurt de soif se perd dans le d?sert de l'angoisse en ressort ivre de peur, ivre de col?re rien ? faire. lourd, bon Dieu qu'il est pesant le poids des jours, lourd grand Dieu, tellement pesant ? quoi s'attendre puisqu'il a perdu le fil l'?me salie de traces ind?l?biles qu'il essaie d'effacer par vapeurs d'alcool aucune main ne se tend lorsqu'il tombe au sol il n'aura plus jamais confiance en personne, depuis trop longtemps plus rien ne l'?tonne il tra?ne son malaise qui p?se des tonnes quand il questionne le silence r?sonne et l'assomme alors ? grands coups de remords cette fois sa vie le baise jusqu'? la mort ni l'amour ni dieu n'ont rien fait pour lui non jamais ne brille aucune alternative ?a ne vaut d?j? plus la peine de vivre aujourd'hui plus la peine l'on vienne ? son aide le voici au bout de la corde raide, il n'y a plus rien ? faire

Vice et R?le

Peau, dans la peau, dans la peau j'ai le vice comme la belle est complice surgissent aux commissures un app?tit de luxure comme une mont?e subite nous incite nous invite ? des gestes explicites elle ondule se d?visse je capitule et me glisse ? l'instant propice tel un serpent entre ses cuisses prostern? devant le talisman de la matrice je ne r?siste pas que mon destin s'accomplisse puisque dans la peau j'ai le vice je lui ?te le haut, elle me ?te le bas hot est l'atmosph?re ? la vue de ses 2 sph?res mon esprit se divise, se dissipe, se disperse et les pens?es mat?rialistes m'indiff?rent d'un mouvement de hanche elle me happe le manche et la voil? qui chante comme un oiseau sur sa branche ?a n'est vraiment pas le moment que je flanche restons ?tanches avant que la temp?te se d?clenche peau dans la peau dans la peau j'ai le vice je lui lisse le poil, lui montre les ?toiles l'envoie dans un monde fractal fait de volutes roses on se confronte tout d'un tas de choses qu'elle ?voque sans que cela me choque dans une longue prose, comme ma langue change de prose je lui donne l'occase de me rendre la pareille [l'appareil] g?nital du bout jusqu'? la base. heureuse flatteuse m'engloutit la muqueuse, la tige nerveuse l'attitude est vertigineuse peau dans la peau dans la peau j'ai le vice sensiblement je m'enlise dans le long glissement de tes reins, elle est tellement chaude que l'on s'agite aux limites de l'obsc?ne trop humides pour ?tre conscients ni m?me lucides de la sc?ne? mangeons le fruit jusqu'au d?fendu

Vive le Feu

(" Une ?tincelle peut mettre le feu ? toute la plaine ") Une raya de bambins livre aux flammes leurs landaus. Une ribambelle de nains fout le feu dans l'm?tro. Une arm?e de gamins qui br?le les magasins. Trois millions de lyc?ens carbonisent leurs bouquins. Une concierge allum?e fout le feu au quartier. Le pr?sident f?l? enflamme l'Elys?e. Trois secr?taires en chaleur calcinent leur directeur. Une tribu de bonne s?urs incendie l'Sacr? C?ur. La? la? la? la? La? la? la? la? La? la? la? ? Un trio de grands br?l?s fait exploser l'hosto. Et 5000 chimpanz?s dynamitent le zoo. Des rastas ?clat?s, c'est chaud dans le ghetto. Les feux dans la cit? br?lent pour G?ronimo. Des soldats cannibales r?tissent leur g?n?ral. 300 patrons qui craquent font sauter la baraque. Et un vieux bonze chinois se p?trole le minois. Le froid tue la fillette qui n'a plus d'allumettes. Chorusse Les hooligans des stades pr?parent les jerrycans. Les jeunes ch?meurs s'la donnent aux cocktails Molotov. Des iraniens inflamment le corps de l'Oncle Sam. Des squatters s'tapent un b?uf autour d'un grand feu d'keufs. Un gang de pyromanes se croit au paradis. Les pompiers en ont marre, c'est la gr?ve aujourd'hui. Il y a le feu partout, c'est la f?te des fous. Il y a le feu partout, viv'le feu, viv'les fous. Ch?ur slaves de la Jeunesse Un gang de pyromanes se croit au paradis. Les pompiers en ont marre, c'est la gr?ve aujourd'hui. Il y a le feu partout, c'est la f?te des fous. Il y a le feu partout, viv'le feu, viv'les fous. Ch?ur solo Re-Chorusse

Shiva Skunk Sp?cial Ekova Flavour



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