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bla3
Lord


Inscrit le: 21 Juil 2005
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MessagePosté le: Sam Sep 01, 2007 11:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

T'as pleuré parce que ça te faisait mal aux yeux de lire des lignes comme ça?
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The lycanthrope
monsieur meuble


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Messages: 580

MessagePosté le: Dim Sep 02, 2007 10:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pas compris. J'ai la vague impression que tu viens d'insulter Lautréamont. Insulter Lautréamont. Lautréamont.

EDIT : ah non, en fait tu me reprochais la mise en page. Ouais, je suis désolé mais c'est ce que j'ai trouvé, et j'ai eu la flemme de chercher plus loin.
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Mais qu'est-ce que je fous l? moi ?
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Doc
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Messages: 2861
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MessagePosté le: Sam Sep 08, 2007 1:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

"... elle a cet air sans âge des femmes qui ne vieillissent pas mais qui n'ont jamais eu de jeunesse"

Kafka, Le Chateau
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Winteria
Junky


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MessagePosté le: Dim Sep 23, 2007 9:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'aime pas trop citer d'habitude : en effet, [discours littéraprout].

Mais je viens de relire ça, et il se trouve que ce soir est un soir d'intense désoeuvrement, donc je le colle ici :


Citation:
J'ai maudit ton front ton ventre ta vie
J'ai maudit les rues que ta marche enfile
Les objets que ta main saisit
J'ai maudit l'intérieur de tes rêves

J'ai mis une flaque dans ton œil qui ne voit plus
Un insecte dans ton oreille qui n'entend plus
Une éponge dans ton cerveau qui ne comprend plus

Je t'ai refroidi en l'âme de ton corps
Je t'ai glacé en ta vie profonde
L'air que tu respires te suffoque
L'air que tu respires a un air de cave
Est un air qui a déjà été expiré
Qui a été rejeté par des hyènes

Le fumier de cet air personne ne peut plus le respirer

Ta peau est toute humide
Ta peau sue l'eau de la grande peur
Tes aisselles dégagent au loin une odeur de crypte

Les animaux s'arrêtent sur ton passage
Les chiens, la nuit, hurlent, la tête levée vers ta maison
Tu ne peux pas fuir
Il ne te vient pas une force de fourmi au bout du pied
Ta fatigue fait une souche de plomb en ton corps
Ta fatigue est une longue caravane
Ta fatigue va jusqu'au pays de Nan
Ta fatigue est inexpressible

Ta bouche te mord
Tes ongles te griffent
N'est plus à toi ta femme
N'est plus à toi ton frère
La plante de son pied est mordue par un serpent furieux

On a bavé sur ta progéniture
On a bavé sur le rire de ta fillette
On est passé en bavant devant le visage de ta demeure

Le monde s'éloigne de toi

Je rame
Je rame
Je rame contre ta vie
Je rame
Je me multiplie en rameurs innombrables
Pour ramer plus fortement contre toi

Tu tombes dans le vague
Tu es sans souffle
Tu te lasses avant même le moindre effort

Je rame
Je rame
Je rame

Tu t'en vas, ivre, attaché à la queue d'un mulet
L'inverse comme un immense parasol qui abscurcit le ciel

Et assemble les mouches
L'ivresse vertigineuse des canaux semicirculaires
Commencement mal écouté de l'hémiplégie
L'ivresse ne te quitte plus
Te couche à gauche
Te couche à droite
Te couche sur le sol pierreux du chemin
Je rame
Je rame
Je rame contre tes jours

Dans la maison de la souffrance tu entres

Je rame
Je rame
Sur un bandeau noir tes actions s'inscrivent
Sur le grand œil blanc d'un cheval borgne roule ton avenir

JE RAME



C'est de Michaux, qui n'est pas une marque de jambon.
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La Zone.
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Glo
Lord


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MessagePosté le: Lun Sep 24, 2007 11:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Michaux c'est bô, Michaux c'est bien, Michaux c'est BEUAAAARGHL, il faut lire Michaux, tout Michaux, Michaux dans les bois, Michaux sur la commode, Michaux sur l'A7 avec un canard en plastique.



Mais le "J'ai mis une flaque dans ton œil qui ne voit plus" me fait systématiquement penser à un gros cumshot facial et ça c'est dommage.
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Glo
Lord


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Messages: 1378
Localisation: http://tinyurl.com/d4hre

MessagePosté le: Lun Sep 24, 2007 11:35 am    Sujet du message: Répondre en citant

Et pour ceux qui en douteraient, achetez le Voyage en Grande Garabagne, déjà, c'est pas cher et c'est le truc idéal pour entrer dans Michaux, Michaux en dessous Dior, Michaux avec les coudes en sueur, Michaux sous les taillis au vent mauvais.

Et en plus c'est rigolol.
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Ultravomit-boy
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MessagePosté le: Dim Sep 30, 2007 9:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un jour, quand j'étais en 6eme (ca remonte quant meme), j'ai lu un truc sur le sac d'un 3eme qui m'a assez marqué par la drolerie du propos ...

"L'école, c'est comme le petit doigt...Ca sert à rien mais quand y'en a plus ca fait bizarre"

Non pas que je soit spécialement d'accord, mais bon.
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t'as déjà remarqué que sur "carotte" si on remplaçait le "c" par "s", le "a" par "o", le "r" par "d", et les deux "t" par "mi" ça faisait "sodomie" ?
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Glo
Lord


Inscrit le: 06 Avr 2006
Messages: 1378
Localisation: http://tinyurl.com/d4hre

MessagePosté le: Dim Sep 30, 2007 10:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Alors là bravo, un message inepte, avec une maxime inepte tant logiquement que du point de vue des représentations, sous le haut patronage d'une autorité inepte et anonyme autant que boutonneuse, le tout servi par une orthographe d'inapte, c'est parfait, je m'incline, je te suce les pieds, t'es le plus gros con que la terre ait porté, Hosannah, Magnificat, Gloire à toi, va mourir pauvre tache.
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Doc
Chroniqueur Officiel


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Messages: 2861
Localisation: Ermont (95)

MessagePosté le: Lun Oct 01, 2007 8:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il est de Versailles kestuve.
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Soutzeverc
Addict !


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Messages: 290
Localisation: 95 banlieue nord, wesh !

MessagePosté le: Lun Oct 01, 2007 9:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je rentre tranquilement dans Léo Ferré, ça me fait globalement bander pour l'instant (ses chansons hein).

Citation:
La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre

Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l'ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude

Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen

Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tans
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles

Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini...
Quand la mer bergère m'appelle


Rock & roll !
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The lycanthrope
monsieur meuble


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Messages: 580

MessagePosté le: Sam Oct 06, 2007 4:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les paroles de Forbidden Site sont tout à fait aptes à prvoquer la turgescence de l'organe de quiconque aime la poésie :

. Der Sieg Der Finsternis

[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]

"Et nox facta est"
poème de Victor Hugo

" Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
Il n'avait pas encor pu saisir une cime,
Ni lever une fois son front démesuré.
Il s'enfonçait dans l'ombre et la brume, effaré,
Seul, et derrière lui, dans les nuits éternelles,
Tombaient plus lentement les plumes de ses ailes.
Il tombait foudroyé, morne silencieux,
Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux,
L'horreur du gouffre empreinte à sa face livide.
Il cria : - Mort! - les poings tendus vers l'ombre vide.
Ce mot plus tard fut homme et s'appela Caïn.
Il tombait. Tout à coup un roc heurta sa main;
Il l'étreignit, ainsi qu'un mort étreint sa tombe,
Et s'arrêta.
Quelqu'un, d'en haut, lui cria : - Tombe!
Les soleils s'éteindront autour de toi, maudit! -
Et la voix dans l'horreur immense se perdit.
Et, pâle, il regarda vers l'éternelle aurore.
Les soleils étaient loin, mais ils brillaient encore.
Satan dressa la tête et dit, levant ses bras :
- Tu mens! - Ce mot plus tard fut l'âme de Judas.
Pareil aux dieux d'airain debout sur leurs pilastres,
Il attendit mille ans, l'oil fixé sur les astres.
Les soleils étaient loin, mais ils brillaient toujours.
La foudre alors gronda dans les cieux froids et sourds.
Satan rit, et cracha du côté du tonnerre.
L'immensité, qu'emplit l'ombre visionnaire,
Frissonna. Ce crachat fut plus tard Barabbas.
Un souffle qui passait le fit tomber plus bas. "

Gloria victis Lucifer !
Gloria victis Lucifer !

Comme un ange crucifié
Glissant vers l'onde pâle
Ses yeux clos sous le ciel
Caressent les étoiles

[Refrain:]
Oh scarlet sunset
Fleeting delight
Lest I regret
Chasten my heart

Et son corps se balance
Au grès des vents s'efface
Elle chavire elle avance,
Plus près du bord, hélas !

[Refrain]

Sa peau nacrée liliale
Que l'ambre défigure,
Sa mort, Dieu, la morale
Amorce la morsure

[Refrain]

Un nom froid souvenir
Ensanglanté s'éveille
Tu seras mon exil,
Barbara de Cillei !

[Refrain]

"Et nox facta est"

J'ai dans le sang l'essence
De ceux de ma race,
Je porte en mon esprit
L'héritage des Daces !


4. Aurélia

[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]

L'édifice s'effondre
Et le ciel me condamne
A rejoindre la tombe
Que mes rêvent profanent

Je sombre dans l'étreinte enivrante du soir
Comme on noie dans l'absinthe le reflet d'un regard
Les flots lourds de la Seine
Accompagnent mes pas
Et le chant des sirènes
Me fait glisser vers toi

Elle s'élève lascive
Caressant les nuages
Puis d'un geste dérive
Pour éviter l'orage
Qu'elle amorce en moi
Réalité futile
Ô délivre-moi
De l'angoisse et du vide

Le rêve s'entrelace à la vie
Ma vie s'entrelace aux rêves

Souffrance, épargne-moi
Ô mon Amour
Que la mort soit douce, éternelle
Emmène-moi
Sous la nuit d'argent

Descend encor au plus profond
Ou même les nuits se fanent
Afin que d'un rayon diaphane
Au sein du néant sur ton front
S'éclaire un nouveau lendemain
Brûle tes larmes divin poète
La peine sera pour ceux qui restent
Ouvre ton âme et prend ma main

Souffrance, épargne-moi
Ô mon Amour
Emmène-moi
Sous la nuit d'argent

Viens !

Eurydice, un soleil s'illumine
Ténèbres...
Ô Béatrix, guide mes pas
Freya, divine reine
Je viens vers toi
Je viens vers toi
Aurélia

"Ô mort ! Où est la victoire ?"
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MessagePosté le: Mar Oct 16, 2007 9:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Décrivez votre rue. Décrivez-en une autre. Comparez.

Faites l'inventaire de vos poches, de votre sac. Interrogez-vous sur la provenance, l'usage et le devenir de chacun des objets que vous en retirez.

Questionnez vos petites cuillers.

Qu'y a-t-il sous votre papier peint ?

Combien de gestes faut-il pour composer un numéro de téléphone ? Pourquoi ?

Pourquoi ne trouve-t-on pas de cigarettes dans les épiceries ? Pourquoi pas ?


Georges Perec, Approches de quoi ?
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The lycanthrope
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MessagePosté le: Mer Oct 17, 2007 5:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cette chanson de Varsovie m'a fait pleurer.

SOME DAYS


Je veux t’écrire à l’arme blanche,
T’inscrire
Dans le cercle fermé
De mes yeux cernés par le feu.
Retranche un peu de paresse,
S’il te faut sortir la première
Le temps n’est pas aux lendemains.
Bien que je tremble encore
Entre deux avalanches
Ce n’est rien.
Some days…
Je veux sentir tes larmes blanches.
Finir
Avec tes yeux fermés
D’avoir essayé pour si peu.
Déclenche un semblant d’averse.
C’est de loin le plus grand mystère
Qui nous différencie des chiens.
Bien que je pense encore
A prendre ma revanche
Ce n’est rien.
Some days…
Je veux t’inscrire à l’arme blanche,
Décrire
Des cercles inversés.
Tes sens
Calcinés.
Pour un peu débranche
Cet excès de stress
Qui m’a donné ce goût de fer.
C’est par là que je te reviens
Bien que tout crève encore.
C’est vers toi
Que je penche,
Que je tiens.
Some days…
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The lycanthrope
monsieur meuble


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MessagePosté le: Mer Oct 17, 2007 5:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah, y'à aussi cette phrase de Lautréamont : "ni moi, ni les quatre pattes-nageoires de l'ours marin de l'océan boréal n'avons-pu perçer ce mystère : celui de la mortalité ou de l'immortalité de l'âme".

J'aime son rythme, elle me reste dans le crâne vraiment.
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